Samuel Bricault
Flûtes bansuri, flûte traversière irlandaise, tin whistle, guimbarde, flûte Boëhm
Originaire des Pyrénées, Samuel commence la musique par le flageolet, avec lequel il joue des danses populaires ariégeoises.
Depuis il s’est formé à la flûte traversière classique et au traverso, notamment au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, à la Royal Academy de Londres et au Conservatorium van Amsterdam. Sa carrière classique l’amène à se produire en musique de chambre (avec le quatuor Van Kuijk, Claire Désert, Emmanuel Strausser, Olivier Charlier, Sarah Margaine), en orchestre (Orchestre National de France, Orchestre du Capitole de Toulouse, Orchestre National de Bordeaux, Orchestre National de Montpellier), dans des ensembles de musique contemporaine (Ensemble intercontemporain, Le Balcon, Ars Nova, ensemble Maja) et en soliste avec orchestre (notamment en Russie et en Colombie). Il fait partie de l’ensemble baroque Marilou, quintette multi-instrumentiste spécialisé dans la musique française du XVIIIème siècle.
Il s’est également formé à la musique indienne, en France puis en Inde auprès du guru Rajendra Prasanna. Il a beaucoup tourné avec le fils de ce dernier, Rishab Prasanna, un spectacle autour des figures de Pan et Krishna, joué en France (festival Berlioz, musée Guimet), et en Inde (Delhi, Chandigarh, Chenai). Aujourd’hui il continue ses recherches autour de la musique traditionnelle centrées sur la musique indienne avec le duo Badmash qu’il forme avec le violoncelliste/sitariste Volodia van Keulen.
Il fait partie des groupes Titanic on the Gange (duo de musique traditionnelle irlandaise), et Bicarbonate de Saudade (quatuor de musique brésilienne).
Fort de son expérience au sein de la Pieuvre, troupe mêlant musiques variées, théâtre et danse qu’il a montée lors de son 3ème cycle supérieur (DAI) au CNSMDP, il s’est formé au clown à la Royal Clown Company (avec Hervé Langlois). Il a depuis travaillé en tant que comédien dans la troupe de théâtre in situ Hoc Momento, pour aujourd’hui se consacrer à son seul en scène « Je m’interroge ».